Là où Cameron bradait ses personnages et son récit au profit de la machine-spectacle, un cinéaste, un vrai, grâce à sa gestion du temps, à son courage de la durée, donne corps avec humilité, sans le moindre effet, à l’angoisse.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Si passée son audacieuse première demi-heure, paradoxal huis clos en espace ouvert, le film se dirige vers une issue attendue (…), sa force initiale ne s’estompe pas totalement et se répercute sur d’autres scènes, plus espacées.
La critique complète est disponible sur le site Chronic’art.com
(…) le plus beau, c’est la façon dont le cinéaste inscrit les personnages dans un espace quasi-abstrait – la mer, le ciel -, et comment il gère cet espace en jouant dynamiquement sur les rapports de plans.
José Nascimento signe un film étrange et singulier, à la fois très simple et très sophistiqué, qui mérite l’attention ne serait-ce que par sa façon de faire toucher du doigt le sentiment de la déréliction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
José Nascimento impose un cinéma d’action, presque rugueux, soucieux d’efficacité, dont la manière est déterminée par une vision immédiate de la réalité. (…) Des images d’hommes en lutte qui rappellent celles du documentaire de guerre anglais.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(…) grâce à deux jeunes acteurs très attachants, le film devient un peu plus vif, le thriller plus affirmé, mais échoue pourtant à nous entraîner, sans doute à cause d’un montage confus qui lui ôte finalement toute vigueur.
Naturalisme stylisé, chorégraphie de l’effort, paysagisme austère, allégorie post-tarkovskienne, on peut ranger Trop tard dans différentes cases et le film oblige à changer de grille de lecture en cours de route.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sur une trame classique, (…) José Nascimento va s’attacher à dépeindre la résistance physique et psychologique de ses personnages. Il filme ses comédiens avec une conviction certaine, mais ne parvient pourtant pas à transcender son sujet.
Un peu lent à se mettre en route, le film finit par prendre son envol, mais ne parvient pas à sérieusement attacher le spectateur au destin des protagonistes.
Repérages
par Frank Beauvais
Là où Cameron bradait ses personnages et son récit au profit de la machine-spectacle, un cinéaste, un vrai, grâce à sa gestion du temps, à son courage de la durée, donne corps avec humilité, sans le moindre effet, à l’angoisse.
Chronic’art.com
par Frank Beauvais
Si passée son audacieuse première demi-heure, paradoxal huis clos en espace ouvert, le film se dirige vers une issue attendue (…), sa force initiale ne s’estompe pas totalement et se répercute sur d’autres scènes, plus espacées.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(…) le plus beau, c’est la façon dont le cinéaste inscrit les personnages dans un espace quasi-abstrait – la mer, le ciel -, et comment il gère cet espace en jouant dynamiquement sur les rapports de plans.
L’Humanité
par Vincent Ostria
Malgré sa lenteur typiquement portugaise, ce film d’action ibère ne manque pas de force.
Télérama
par François Gorin
(…) un film âpre, tendu, au suspense de bout en bout atypique (…)
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
José Nascimento signe un film étrange et singulier, à la fois très simple et très sophistiqué, qui mérite l’attention ne serait-ce que par sa façon de faire toucher du doigt le sentiment de la déréliction.
Première
par Christophe Narbonne
Le résultat, haletant, avoisine le thriller tant du point de vue du découpage que des retournements de situations.
Positif
par Jean-Pierre Jeancolas
José Nascimento impose un cinéma d’action, presque rugueux, soucieux d’efficacité, dont la manière est déterminée par une vision immédiate de la réalité. (…) Des images d’hommes en lutte qui rappellent celles du documentaire de guerre anglais.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Charles Villata
(…) grâce à deux jeunes acteurs très attachants, le film devient un peu plus vif, le thriller plus affirmé, mais échoue pourtant à nous entraîner, sans doute à cause d’un montage confus qui lui ôte finalement toute vigueur.
Libération
par Didier Péron
Naturalisme stylisé, chorégraphie de l’effort, paysagisme austère, allégorie post-tarkovskienne, on peut ranger Trop tard dans différentes cases et le film oblige à changer de grille de lecture en cours de route.
Lenouveaucinema.com
par Marie Chauvin
Sur une trame classique, (…) José Nascimento va s’attacher à dépeindre la résistance physique et psychologique de ses personnages. Il filme ses comédiens avec une conviction certaine, mais ne parvient pourtant pas à transcender son sujet.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Le Nouvel Observateur
par J.M
Un peu lent à se mettre en route, le film finit par prendre son envol, mais ne parvient pas à sérieusement attacher le spectateur au destin des protagonistes.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr